La mesure du temps … après le jour et la nuit, le calendrier et enfin l’horloge
Bien que la mesure des heures remonte à la plus haute Antiquité – le premier le cadran solaire est Egyptien – il aura fallu attendre le Moyen Âge pour que la mécanique commence à jouer un rôle dans l’horlogerie… Et que naissent les horlogers, maitres du découpage du temps
L’horloger compose et répare tout type d’appareils mesurant le temps … A l’instar de Louis Antoine, ancêtre d’un lointain cousin
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
Le galocher ou galochier fabrique des chaussures en cuir à semelles de bois, plus légères et plus confortables que les sabots. Il reste très peu de galochers de nos jours, la profession a pratiquement disparu concurrencée par les cordonniers
J’ai posté sur mon blog un article sur Jacques Marie VALLET mon ancêtre Galocher … Voici un extrait d’un commentaire laissé sur mon blog par le musée de la galoche : « L’histoire de la galoche et des galochiers est effectivement sortie de la transmission orale ; étrangement, l’histoire de la fabrication de ces chaussures à semelles de bois s’est perdue et ne fait l’objet que de rares littératures exhaustives. »
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
Semaine 2 du Challenge AZ … Pas encore rattrapé mon retard de lecture
Avant-Hier il fallait trouver
« Forgeron » est formé à partir du verbe « forger », à l’aide du suffixe « -on ». Auparavant, on disait un « fèvre » (d’où les surnoms, puis patronymes Febvre, Fèvre, Lefèvre, Lefebvre, Lefébure, Lefeure).
C’est un des plus vieux métier du monde … L’activité de forgeron est apparue en même temps que la découverte du travail des métaux, environ 5 000 ans avant Jésus-Christ ; elle est devenue un métier à part entière à mesure que les peuples exprimèrent leurs besoins d’avoir des objets plus résistants et aux usages variés : outils, armes, parties mécaniques, grilles, clefs, bijoux …
Anatole HULLARD, mon Sosa 30 exerçait ce métier … Il m’avait servi d’exemple dans mon article sur les fiches matricules
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
« En principe, les scieurs de long étaient également équarrisseurs en bois puisque les deux façons allaient de pair et se complétaient. En effet, l’équarrissage constituait en quelque sorte la préparation des grumes destinées à être débitées sur le lieu même de l’abattage. Cela ne devenait un métier à part entière que dans la construction navale où les besoins en madriers de haut fût permettaient d’occuper une nombreuse équipe… » Extrait de « Les forestiers, vieux métiers des taillis et des futaies », Gérard Boutet, éditions Jean-Cyrille Godefroy, 1997
Mon Sosa Jean-Louis Isidore POTTIER et un de ses fils furent équarrisseurs de charpente en Ile de France
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
Le distillateur met en œuvre les étapes de fabrication, de conservation et de conditionnement de boissons alcoolisées distillées. Il est un employé du Bouilleur de cru
Le privilège de bouilleur de cru remonte à Napoléon lorsqu’il accorda un privilège d’exonération de taxes pour la distillation de 10 litres d’alcool pur ou pour 20 litres d’alcool à 50° pour ses grognards. Ce privilège fut héréditaire jusqu’en 1960
Mon ancêtre François Etienne FEVRE était distillateur … Vous avez fait sa connaissance le 27 juin 2020 … ICI
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
Le cœur du métier de charron est sa maîtrise de la roue, qu’elle soit en bois ou en fer.
Le charron fabriquait et réparait des carrioles, charrettes, brouettes ou tout autre véhicule avec des roues, outils de travail, de loisir ou de guerre.
Le charron a aussi été appelé « embatteur de roues », « rodier » ou « royer ». Jayme Pascual VALDES-MARTINEZ, Sosa 46 de mon fils exerçait ce métier en Algérie où il est né … Fils d’émigré Espagnol, il est l’arrière-grand-père de la grand-mère paternelle de mon petit
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
Une incursion dans la branche paternelle de mon petit
Hier, il fallait trouver
Le métier de boucher est l’un des plus anciens et le mieux organisé, avec celui de boulanger
A ses débuts, la boucherie était pratiquée par peu de personnes. Il s’agissait souvent d’affaires de familles, les fils reprenant l’activité des pères… L’héritage était même officialisé dans une charte du XIIe siècle de la Ville de Paris. Au XVIe siècle la profession se dota de véritables statuts et les bouchers devaient prêter serment.
Ainsi, Philippe KNODERER, mon Sosa 500 succéda à son père Jean KNODERER dans la profession … Pour la petite histoire, Philippe épousa Charles Geneviève PETIT, fille de mon aubergiste … Les jeunes gens se seront sans doute rencontrés au sein de l’auberge lors d’une livraison … A moins que leurs pères respectifs n’aient trouvé utile d’unir leurs ressources … Et quoi de mieux pour sceller une entente que de marier ensemble les enfants des parties
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
Jour 2 du Challenge AZ … je tiens le rythme des lectures
Hier il fallait trouver
Le mot auberge est apparu vers le XVème siècle sous la forme « aulberge » qui signifiait « campement », dérivé du verbe espagnol « albergar » pour héberger.
Il s’agissait donc d’une maison, située dans un village, où au bord d’une route et qui permettait de faire étape … L’aubergiste proposait le gîte et le couvert … Au confort souvent sommaire, certaines auberges étaient en sus dotées d’un abri pour les chevaux.
Dès le XVème siècle, des relais de postes furent crées pour acheminer le courrier royal dans un premier temps et par la suite pour accueillir les voyageurs.
Aubergiste, tel était le métier de mon Sosa 1002 François PETIT, né vers 1745 à Brunoy … Sa fille au prénom épicène épousera un de mes « B » …Tel était également le métier de Louis Nicolas Guyot, un oncle à la 7eme génération, aubergiste en Seine-et-Marne, héro du généathème de mai 2021
Voilà les statistiques de Généanet au sujet de ce métier
Le marathon d’écriture auquel nombre de généabloggeurs adhèrent, qui consiste à proposer six articles par semaine, du lundi au samedi, avec pour fil rouge l’alphabet de A à Z, aura lieu pour cette cuvée 2021 dès demain, lundi 1er novembre et ce jusqu’au mardi 30 novembre.
Bonne lecture et bon courage à tous, rédacteurs comme lecteurs … plus de 2 200 articles publiés l’année dernière à l’occasion de ce challenge !!
C’est en pleine première guerre mondiale que ma grand-mère va naitre … Nous sommes le 4 mars 1915, en plein Paris … Le couple formé par mes arrière-grands-parents Charles Vallet et Germaine HULLARD est domicilié Impasse Saint Sébastien dans le 11ème arrondissement … Charles n’est pas là … Il est au front … Il n’en reviendra pas
Germaine est seule avec sa petite Lucienne, née deux ans plus tôt …
Heureusement, Rose Leroy, maman de Germaine habite le même immeuble, et lorsque la toute jeune Lucienne frappe à sa porte, Rose sait qu’elle doit aller assister sa fille …
Pierre Ayraud, Heraud, Airault selon qui tient la plume, est né le 11 septembre 1796 aux (Les) Adjots, en Poitou-Charentes … Fils d’Antoine (1764-1833) et de Madeleine BOURLEAUD (1756-1819)
Cultivateur et tailleur de pierres, Pierre convolera à 23 ans le 25 octobre 1819 dans sa commune de naissance …
Sa promise est tout juste âgée de 18 ans … La jeune mariée, Madeleine MACHET est née le 7 septembre 1801 aux Adjots, fille de Louis et Antoinette BODIFIER
Le jeune couple vivra peut-être un temps aux Adjots, petite commune rurale de leur enfance, avant de s’installer à Chaunay, où ils finiront leurs vies tous les deux
La seule fille que je leur connais, naitra le 22 novembre 1822, dans la commune adoptive de ses parents … Prénommée Marie-Cécile elle épousera un Jacques dont le patronyme survivra jusqu’à la grand-mère paternelle de mon fils.
Pierre décèdera jeune, à peine âgé de 48 ans, il rendit l’âme dans son domicile … La cause de sa mort n’est pas précisée … Ce sont son gendre (époux de Marie-Cécile) et un voisin qui déclareront le décès
Son épouse lui survivra de nombreuses années
Ainsi, le jeune couple formé par Pierre et Madeleine aura passé sa vie d’adulte à Chaunay … Y fondant sa famille …
Située au « seuil du Poitou » Chaunay est la dernière commune de la Vienne sur ce qui est aujourd’hui la nationale 10 La petite bourgade traversée par la Bouleure a toujours été un lieu de passage. Parmi les personnes célèbres qui y passèrent, citons :
Henri IV le 13 juin 1572, il y apprendra la mort de sa mère Jeanne d’Albret décédée le 9 juin de la même année alors qu’il se rendait à Paris pour épouser Marguerite de Valois, future reine Margot
Napoléon 1er se rendant en Espagne traversa également Chaunay avant de dormir aux « Maisons Blanches »
et plus « récemment » Le Président de la république Vincent Auriol, le Duc de Windsor se sont restaurés au alors célèbre « Hôtel Central »
Ascendants de Jean-Christophe jusqu’à Pierre AiRAULT
En ce troisième samedi du mois, j’avais oublié LE Rendez-vous mensuel avec un ancêtre …
Trop occupée, je n’ai pas vu le temps passer … Oups … Le RDV incontournable des généabloggeurs, initié par Guillaume Chaix, du Grenier de nos ancêtres…
C’est donc un ancêtre dont la signature m’a interpellée … Que je m’apprête à rencontrer Mon Sosa 398 … Tissier
Les généathème initiés par Sophie Boudarel et repris par Geneatech nous proposent un thème par mois … Histoire de secouer, vérifier, enrichir un peu nos arbres.
Le thème d’octobre tombe à pic … Vos ancêtres et la justice … Je n’ai presque rien à faire, si ce n’est de changer le titre d’un article déjà rédigé, et non encore publié :
Quand votre logiciel de généalogie vous propose de rechercher des « Cousinages avec une célébrité »
Née le 30 septembre 1853 Victorine fille de Joseph et Marie-Thérèse Fevre est la troisième génération de PENNEQUIN à naitre en Meurthe et Moselle, nouveau fief de la famille qui y est établit depuis 1790 …Cette chère Victorine était sensée être mon #1J1A de ce 30 septembre … Mais il semble que j’ai dérivé … un peu, beaucoup
Fille de Jean-Louis et Marie Charlotte BAILLEUX, Adélaïde est née le 29 septembre 1767 à Nanteuil-sur-Marne … Quatrième des sept enfants que je connais à ses parents
Le rendez-vous mensuel des généablogueurs, à l’initiative de Guillaume Chaix, du blog le Grenier de nos ancêtres… Généalogie-fiction … Rencontre du troisième type avec un de nos ancêtres sur son lieu de vie et à son époque
… De la Dordogne à l’Oise … Balade au fil de l’eau
Profitant d’une accalmie et le soleil daignant pointer le bout de ses rayons, mes neveux de passage dans ma Dordogne d’adoption m’embarquent – pour la Xème fois – dans les méandres de ladite Dordogne à bord d’une gabarre …
Les généathème initiés par Sophie Boudarel et repris par Geneatech nous proposent un thème par mois … Pour ce mois de rentrée le thème choisis est :
« Je remets à jour un ancien article »
Choisissez un ancien article, faites un brin de toilette et remettez-le à jour avec de nouvelles informations disponibles ! Des témoins dont vous ne saviez rien, des services d’archives qui proposent des documents en ligne qui n’étaient pas disponibles à l’époque, une mention dans la presse ancienne…
Berk … Rien que le mot « ménage » moi qui est perdu – sans le faire exprès … si si – la clef du placard à balais
Et puis du ménage sur un bébé-blog de 20 mois à peine Finalement y a du bon à être une jeune généabloggueuse A ceci près que me voilà fort dépourvue
Je croyais Clotilde Amélie HALLE, née à Combs-la-Ville le 1er septembre 1795, quatrième des cinq enfants du couple formé par ses parents Jean François – perruquier- et sa légitime épouse Marie Marguerite GAUDRON.
Lorsque mon Sosa Jean Louis JACQUET, vigneron, fils et petits-fils de vigneron, épouse le 10 novembre 1761 en l’église de Charly sur Marne sa promise Marie Charlotte BAILLEUX, le jeune couple entend bien fonder une famille
En réalité, le premier né de la famille déjà en route !!! Une petite fille qui verra le jour trois mois après les épousailles Quoi de mieux pour une première saint Valentin de jeunes époux que de voir naitre la petite Marie Charlotte … Sitôt née, sitôt baptisée en ce 14 février 1762
La vie de famille du jeune couple démarre …
Hélas, quelques mois plus tard, ils porteront en terre leur première née, qui n’aura vécue que peu de temps … le 31 Aout 1762, Marie Charlotte est inhumée dans sa paroisse de naissance
Suivra Jean César en 1764, et une seconde Marie Charlotte … Qui ne vivra que quelques 4 petits mois … Aucune des trois filles suivantes du couple ne portera ce double prénom à la funeste destinée et un petit Paul Victor viendra clore en 1774 les naissance au sein du foyer de Jean-Louis et son épouse
Le couple aura eut sept enfants, dont le puiné, Jean César, est mon ancêtre à la huitième génération
Les généathème initiés par Sophie Boudarel et repris par Geneatech nous proposent un thème par mois … Comme celui d’aout 2021 est vaste !!!
MARIE …
Prénom épicène bien que souvent conjugué au féminin Employé seul ou associé … Marie-Thérèse comme une de mes tantes contemporaine, Marie-Françoise, Marie-Madeleine … Et au masculin Jean-Marie ….
Prénom plébiscité depuis la nuit des temps, Marie est à son apogée entre 1700 et 1800 et figure encore aujourd’hui en bonne position des prénoms les fréquents … Pour autant elle n’échappe pas aux expressions peu flatteuses de notre langage dit populaire : Une « Marie j’ordonne » s’emploie pour qualifier une femme autoritaire ; une « Marie-bon-bec » désigne une femme bavarde ; une « Marie couche toi là » signifie une « femme facile, débauchée ».
Les généathème initiés par Sophie Boudarel et repris par Geneatech nous proposent un thème par mois … Voici celui de juin
Pour ce nouveau généathème, en cette période de déclaration des impôts, parlez-nous d’argent !
(..) Un sujet à tordre dans le sens qui vous inspirera le plus.
En voilà un thème qui devrait m’inspirer si je m’en réfère à mon métier Mais nan … Rien, rien ne me vient Rien, rien rien …
J’ai bien parlé un peu argent dans un de mes articles quand j’ai évoqué le salaire de Jean-Baptiste, Facteur de son état … A part ça, nada Et côté inspiration, re-nada
Une anecdote peut-être sur ma grand-mère qui lorsque nous étions petites nous donnait chaque dimanche une pièce … de 100 sous
Je vais donc orienter cet article « Histoires d’argent » sur les monnaies sous le « règne de mémé »
En cette veille de fête des mères, je vous propose de vous pencher sur les mamans, très fécondes, de ma généalogie … Ces dernières furent mères bien bien avant que ne soit instaurée « la médaille d’honneur de la famille française » …
Mes ancêtres, et les vôtres aussi je pense, sont bien loin du record du monde du plus grand nombre d’enfants, officiellement enregistré, qui serait attribué à la première épouse d’un peintre russe, Feodor Vassiliev. Cette mère de famille aurait mis au monde SOIXANTE SEPT enfants, entre 1725 et 1765, dont seize fois des jumeaux, sept fois des triplés et quatre fois des quadruplés.
Après une petite pause je reprends le principe de la mini publication quotidienne ou presque avec cette troisième mouture du 1J1A Les versions 1 et 2 sont respectivement ICI et LA
UN JOUR UN ANCÊTRE III est le début du second tour du calendrier … Entre mes ascendants, et/ou collatéraux oubliés ou passés sous silence lors des deux premiers « chapitres », je devrais pouvoir encore tenir une année … Sans compter que mon petit arbre continue, lentement mais sereinement de s’étoffer. Jour après jour un ancêtre direct ou collatéral fera donc la « une » de cet article … Jour d’anniversaire de naissance, de mariage ou de décès, se sera l’occasion de faire connaissance, de rechercher les actes manqués manquants et de papoter un peu sur une vie, un évènement ou un lieu
C’est donc à Scolastique d’ouvrir cette nouvelle « danse des anniversaires », elle qui est née un 18 mai