
Dans mon document d’origine, j’avais fais une “piqûre de rappel” sur les Sosa …. je m’en dispense ici …. Rien ne vous empêche de lire ou relire un article de ce blog à ce sujet : SOSA …. Quésaco
Sosa de Noel
Ils sont deux : le 25 et le 12 …. Une mère et son fils ….Un joli symbole pour Noel

Une mère et son enfant ……. Où se cachent nos Sosa de Noël, les N° 25 et 12 ???
Ils sont toujours à la même adresse, à savoir droite puis deux fois à gauche pour trouver le 12 et à droite une fois pour dénicher le 25

———- ce qui nous donne ———-
Les Sosa 25 & 12 de Véronique, Arielle et Virginie MULLER



Nos racines LORRAINES

Les Sosa 25 & & 12 de Jean-Christophe




Sosa 666
666, le nombre de la « bête », celui du diable
A l’approche d’Halloween et de ses petits démons, un vent de folie diabolique souffle tous les ans parmi les généalogistes : la recherche du « Sosa 666 »

Le Sosa 666, habite toujours à la même adresse, à savoir gauche, droite, deux fois à gauche, deux fois à droite, puis gauche, droite et enfin gauche

Le Sosa 666 de Véronique, Arielle et Virginie MULLER
est …. un parfait inconnu à ce jour

Le Sosa 666 de Jean-Christophe VIÉ … est Jean PELISSON


La première et la seule trace à ce jour de Jean PELISSON est l’acte de mariage de sa fille Françoise Pelisson [fille de Jean Pelisson, ainsi que je l’ai souligné dans l’acte de mariage de la demoiselle] née le 10 novembre 1740 à Voulême, (Vienne, Nouvelle-Aquitaine) Mariée le 25 septembre 1764, aux Adjots (Charente , Nouvelle-Aquitaine), avec Pierre Machet et décédée le 19 janvier 1774 aux Adjots , à l’âge de 33 ans, après avoir donné 4 enfants à son époux …. Lequel se retrouve de nouveau veuf ….. avec 8 enfants, dont 4 de sa précédente épouse
Par extrapolation, on peut déduire que Jean Pelisson était un modeste Journalier, sa fille ayant épousé probablement un homme de sa condition, en la personne de Pierre Machet, Journalier tisserand
Jean Pelisson aura probablement passé toute sa vie à proximité immédiate de Voulême où sa fille fut baptisée

Sosa 1000
Le Sosa 1000 est un individu masculin, de la lignée des femmes … Celui que tous les généalogiste recherchent …. Pourquoi celui-ci en particulier ?

Le Sosa 1000 de Véronique, Arielle et Virginie MULLER est Jean KNODERER


Jean KNODERER épousera en 1752, une jeune fille prénommée Françoise Madeleine alors âgée de 20 ans, laquelle lui donnera au moins un fils Philippe Jacob KNODERER né en 1756 à Westhoffen

Comme probablement son père avant lui, Jean KNODERER est boucher, son fils, Philippe Jacob sera boucher et marchand ….
Jean KNODERER et son épouse sont encore en vie en mars 1795 …. Ils ont respectivement entre 65 et 75 ans, ce qui est un âge fort honorable pour l’époque …. Alsaciens de cœur et de racines, ils vivent toujours à Westhoffen …..Tandis que leur fils Philippe Jacob fait sa vie à Vincennes, où il publie ses bans en 1795
Le petit-fils de Jean KNODERER naîtra à Brunoy , fils de Philippe Jacob et de son épouse Charles Geneviève PETIT
Philippe Jacob, fils de Jean KNODERER, s’étendra à Arcueil , Val-de-Marne
Le 14 décembre 1828 …. A l’âge de 72 ans …. Il sera le dernier boucher de la lignée

Le Sosa 1000 de Jean-Christophe VIÉ
est Noël BENOIST … Il aurait, par son prénom, pu être un Sosa de Noël

Faisons connaissance de Noël BENOIST
Le Sosa 1000 de Jean-Christophe est Compagnon de rivière et marinier, comme son père et comme son frère aîné
Noel est le fils cadet de Louis BENOIST et de Marie HACHETTE

Il passera toute sa vie entre Margny-lès-Compiègne où il est né, et Compiègne même où il se mariera par deux fois, et où il décédera le 31 décembre 1794 à l’âge de 61 ans
La version PdF est ICI