Sur une idée de Catherine … « Ecrire une biographie (ou toute une histoire familiale) en suivant les lettres de son nom ou celles de la personne dont on parle. Ainsi, lettre après lettre, se construit un récit selon un plan thématique original.»
Un acrostiche, du grec akrostikhos, est un poème, une strophe ou une série de strophes où les initiales de chaque vers, lues dans le sens vertical, composent un nom ou un mot-clé.
En ce troisième samedi de juin, le traditionnel rendez-vous ancestral initié par Guillaume Chaix du blog « le grenier de nos ancêtres » est aussi brulant que ce caniculaire premier mois d’été.
C’est dans la commune de Sallanches, en Haute-Savoie, sur les terres ancestrales des familles Vallet et Pissard que me portent mes pas …
Nous sommes en 1840 …
Après la période de l’occupation française pendant la Révolution où Sallanches fut chef-lieu d’un arrondissement judiciaire sous le Directoire et le Premier Empire, de 1792 à 1814, la monarchie sarde est restaurée jusqu’au rattachement définitif de la Savoie à la France, en 1860.
Nous sommes le 19 avril 1840, je ne rencontrerai pas mon Sosa Pierre joseph, il a fait une chute mortelle quelles années auparavant … Cultivateur, il aura succombé à 5 heures du soir, non sans avoir reçu les sacrements, laissant pour veuve sa seconde épouse Marie Josephte Pissard …. Et leurs 3 enfants.
Raconter un ancêtre en 30 questions … Un défi proposé par Sophie Boudarel pour égayer le mois de juin … Une publication par jour tout au long de ce mois d’été. Pour ma part, j’ai « découpé » le challenge en 5 tranches … 5 Visuels pour Charles Joseph Pennequin, mon Sosa 24 … Cinq visuels accompagnés de quelques lignes, un croquis, une image, un acte …
Les #Geneathèmes initiés par Sophie Boudarel sont aujourd’hui entre les mains malicieuses de Geneatech … Un thème mensuel à développer à notre sauce, de quoi égayer, enrichir et compléter notre généalogie, et faire vivre nos blogs… En ce mois prémices de l’été … Juin, la saison des amours.
Un petit dernier généathème avant l’été … Les enfants nés hors mariage.
Les vacances, le sable chaud et les amourettes d’été … Qui durent ou s’éteignent aux premières feuilles mortes … Et les petits -non prévus- qui pointent le bout de leur nez au printemps suivant.
Et moi, naïve, qui croyais nos aïeux sages jeunes gens, et pures mariées, vierges devant l’autel … Que nenni !!! Nos ancêtres étaient eux aussi des coquins qui « croquaient la pomme » avant l’heure 😂 … Enfin, pour certains.
Enfin poser les bases de ma généalogie … Nommer mes grands, arrières et arrière-grands-parents … Bien qu’à ma décharge, et avant d’avoir tous les éléments en ma possession, j’ai rédigé un billet – dans ma prime jeunesse généalogique- Arrière-grands-parents, une place à part, un autre sur ma branche agnatique et un troisième sur mon ascendance cognatique.
Voici donc le commencement de l’histoire de ma famille, qui nait avec le mariage de mes parents en décembre 1962, le 29 … Quarante six jours avant ma naissance … Ils ont respectivement 23 et 24 ans, maman est enceinte jusqu’au fond des yeux … Je ne sait pas la couleur de sa robe de mariée, je ne sais pas s’ils ont fait bénir leur union par l’église, ou si c’était un mariage purement civil … Je ne sais pas…
Je ne sais pas … Depuis que j’ai commencé à me passionner pour la généalogie, c’est une phrase qui revient, encore et encore, conjuguée à tous les temps :
« je ne sais pas », « je ne savais pas », « Je ne saurai peut-être jamais »
Me voilà bien embarrassée cher Guillaume Chaix … C’est une « non-parente » qui m’interpelle en ce jour de rendez-vous ancestral… Nous sommes en 1906 si j’en crois la PANHARD LEVASSOR garée dans la rue.
Marie LABRUNE, épouse en second de mon Sosa 30 me fait de grands signes depuis sa fenêtre de la rue des Bordes.
« Viens, viens me voir … Tu n’as jamais eu RDV avec aucune de tes ascendantes, je veux être la première …. Même si nous ne sommes pas parentes … Viens, viens bavarder un peu avec une petite descendante de grands-parents Wallons »
Marie LABRUNE, ma « non-parente » épouse en seconde d’Anatole Hullard, lui-même divorcé de Rose Clotilde mon arrière-arrière-grand-mère maternelle… Et bien Marie, papotons donc un peu, faisons connaissance toi et moi.
Fille de clerc (instituteur) Elisabeth est la onzième née des quatorze enfants que j’ai répertoriés à ses parents, Claude et Marie Pierrot, qui auront dix filles et quatre garçons, outre la petite fille de Claude, née de sa première union.
Les généathème initiés par Sophie Boudarel et repris par Geneatech … Le rendez-vous mensuel sur un thème proposé … Inspirant ou nous laissant bouche bée.
Pour ce mois de mai, Geneatech nous propose de nous pencher sur les métiers rares et/ou anciens qu’ont exercé nos ancêtres …
Vaste programme
Louis Adrien HULLARD, né hors mariage le 18 janvier 1886 à Paris-14e, reconnu par son père le 3 février 1886 et par sa mère le 28 septembre 1895, qui aura lui-même 4 enfants tous nés avant le passage devant l’autel et légitimés par les épousailles de leurs parents … Exerce un de ces métiers anciens, tombés en désuétude … A cause d’Eugène
Cher Guillaume Chaix, du blog « le Grenier de nos ancêtres », si vous saviez « qu’une tant belle fille » m’a donné Rendez-vous en ce troisième samedi du mois …
Me voici dans le Nancy du début du XIXème pour satisfaire au traditionnel Rendez-Vous Ancestral.
A mon arrivée « c’est un p’tit cordonnier ♫ » que j’ai rencontré … C’est parait-il « en la chaussant ♫ » que Nicolas « fit sa demande ♫ » à sa belle Catherine … bien que j’en doute.
Nicolas PENNEQUIN, cordonnier à Nancy, mon oncle à la 5e génération, m’attend de pied ferme, dans son palais atelier… Ensemble nous allons revoir les dates et grandes lignes de sa vie.
Quelle triste arrivée dans le monde que celle de ce petit François, mon Sosa 50 «(…) enfant trouvé abandonné devant la porte d’entrée des hospice des orphelins de la ville (de Nancy), avec un billet portant son nom : François Parisot. L’enfant était enveloppé de trois braies(couches ou langes), d’une bande et d’une chemise, la tête couverte d’un bonnet de toile de coton bleu garni de dentelle (…) »
Par le prisme de la vie (dissolue ??) de son époux
C’est en effectuant des recherches sur un patronyme bien commun de ma généalogie … MARTIN … Que j’ai été amenée à me pencher plus avant sur une petite épouse Martin, née Bezon, et accessoirement matriarche, à ce jour, de ma ligne cognatique.
C’est probablement en la commune de Nanteuil-lès-Meaux que serait née Adèle Bezon vers 1794 …
Matriarche de ma lignée cognatique, ainsi que déroulée ci-contre
Je ne possède aucun acte la concernant, et ignore tout de sa filiation … Il y a bien une table des mariage à Nanteuil-les-Meaux, où je la trouve épouse de Jean Etienne MARTIN, en date du 10 octobre 1821 … Sous les prénoms de « Françoise Victoire Adèle » …
Pas si dérangeant que ça, les enfants se voyant jadis attribuer les prénoms des parrain et marraine en première et seconde position, le prénom « usuel » arrivant troisième … Il s’agirait bien de mon Adèle.
… Et elle sera mère de deux filles, issues de cette union, nées respectivement en 1829 et 1832 pour la benjamine Rose Joséphine mon ancêtre, née je cite « fille légitime de Jean Etienne MARTIN et d’Adèle BEZON »
Avant la révolution, chaque justice seigneuriale, comprend un juge unique que l’on retrouve sous le vocable «bailli» , «viguier», «châtelain» , ou encore «prévôt» et un «procureur fiscal» ou «procureur d’office» nommés par le seigneur ainsi qu’un greffier et un ou plusieurs sergents. A la différence des juges royaux, les juges seigneuriaux ne sont pas propriétaires de leur charge, mais seulement nommés par lettres de provisions émanant du seigneur … Malgré ça, beaucoup se succèdent de père en fils.
Le Procureur Fiscal était souvent Laboureur et exploitait de grosses fermes qui dépendaient d’Abbaye ou de Seigneuries. Officier d’un seigneur, il est chargé d’exercer le ministère public auprès du tribunal seigneurial. Il veille aux droits du seigneur, aux objets d’intérêt commun et recouvre l’impôt.
Pour satisfaire au Rendez-vous Ancestral initié par Guillaume Chaix et qui consiste à rencontrer un de nos ancêtres à son époque … Et afin de rester dans le corps du généathème de ce mois de mars … Je vous propose un voyage en 1832 … Dans la maréchalerie de François.
Décidément, cette année 1832 me ramène à ma grand-mère « mémé Suzon », puisque c’est son oncle à la 3ème génération que je vais rencontrer aujourd’hui … François HULLARD né en 1832 … Mon tonton … Maréchal-ferrant de son état.
Originaire de Bizonne en Isère, fils et petit-fils de maréchal-ferrant, François HULLARD est né le 18 août 1832, dans une France en proie à « la peur bleue ».
Pierre et Rose Gullon, Isérois tous les deux, convolent en justes noces le 30 juin 1825, dans la commune de Bizonne où le couple s’établit … Rose est « ménagère », Pierre maréchal-ferrant … François leur viendra quatrième de leurs enfants.
Cet article est juste un prétexte à tester la nouvelle fonctionnalité de MyHeritage … LiveStory qui crée une vidéo animée d’une personne racontant l’histoire de sa vie… pourvu que l’on possède une photo d’elle.
Il se trouve parmi mes très rares photos de famille que j’en ai une de mon arrière-grand-mère … Affectueusement surnommée « Mémé Colombe »
Elle me tient dans ses bras
J’ai appris le mot « implexe » en cherchant le mariage de « mémé Colombe » et d’Alphonse, mes arrière-grands parents du coté de maman.
Rendez-vous dans la typique maison lorraine de manouvrier de Marc DEMARNE, né le 19 juillet 1705 à Pierreville en Lorraine.
Tu seras Marc mon rendez-vous ancestral de ce mois où le généathème propose de mettre à l’honneur un Paysan de notre généalogie … En hommage au salon de l’agriculture qui se tient à Paris en ce mois de février 2022
Quand l’heure du rendez-vous ancestral se cale sur celle du généathème, le principe de « se rendre dans l’époque de son ancêtre » me propulse dans la demeure d’un modeste manouvrier … Agriculteur sans terre.
Mon bébé-blog a grandi !! Ayé, il a 2 ans aujourd’hui !!!
Deux bougies … DEUX … En ce 4 février 2022, mon blog fête ses deux ans … Le nombre d’abonnés monte petit à petit, les visiteurs sont plus nombreux et j’ai récolté des « j’aime » et des « commentaires » en plus grand nombre que l’année dernière … Contente 😀
C’est le 31 janvier 1746, que le décès de mon Sosa 2024 a été transcrit sur le registre … Décédé la veille, veuf et âgé d’environ 80 ans Antoine BENARD c’est éteint à Villeneuve-le-Comte, dans ce qui était probablement sa ville natale.
Je ne suis en possession ni de son acte de baptême, ni de celui de son mariage avec Jeanne SEBASTIEN.
Jean César JACQUET, mon Sosa 208 a vu le jour à Charly sur Marne dans l’Aisne le 14 septembre 1764, second né du couple formé par ses parents Jean-Louis et Marie Charlotte Bailleux Jean César est né dans une famille de vigneron … C’est assez naturellement qu’il le deviendra lui-même … et qu’il épousera une fille … de vigneron Marie Anne Morel.
Le mariage des deux petits vignerons, enfants de vignerons, sera célébré le 17 janvier 1792, à Nanteuil-sur-Marne où les deux familles sont installées… L’honneur « de la dame » sera sauf, elle enfantera mariée.
Le troisième samedi de chaque mois, à l’initiative de Guillaume du blog « le grenier de nos ancêtres » les généabloggeurs ont un incontournable Rendez-vous avec un de leurs ancêtres.
A cette occasion les années défilent à l’envers et nous nous retrouvons dans le temps passé … A l’époque de nos ancêtres, sur leurs lieux de vie
En ce mois de janvier au programme chargé : Se remettre des fêtes, replonger dans les archives, partir à la recherche du Sosa de l’année, réactiver le calendrier des anciens … Se saisir qui de son crayon qui de sa souris pour retrouver le chemin de l’écriture … Pfff Je réclame un peu de répit Vive la solution de rechange Vive le plan B
Une des meilleures façons d’honorer ses ancêtres est de raviver le souvenir de leur existence.
Mon article « 1J1A 3 » commence à être long … Il faisait suite à « 1J1A 2 » et à « 1J1A 1 » … Et comme il reste encore des dates « blanches » et qu’entre Sosa et collatéraux mon petit arbre s’est étoffé … je garde le principe de la mini publication pour quelque temps encore …
En ce début de nouvelle année, c’est à Marc DEMARNE, simple Manouvrier d’ouvrir ce « calendrier de anciens »
Du temps qu’y vivait Pierre Toussaint POLICE, Sosa 2022 de mon fils, Varennes-Jarcy était un petit village rural, peu peuplé … 212 habitants en 1793
Les armes de Varennes-Jarcy
«De Gueules à la Croix cléchée, évidée, pommetée d’Or, accompagnée de deux demi-roues de Moulin de sable issant d’une champagne ondée d’argent »
De Gueules (rouge) à la Croix d’Or : la Croix est l’emblème de la Famille de Toulouse. Elle rappelle que Jeanne de Toulouse, belle-sœur de Saint Louis, fonda l’Abbaye de Jarcy en 1269. Les deux roues symbolisent les deux Moulins de la Commune, (de sable) veut dire noir, (issant) dépassant de la partie basse de l’écu, mouillée d’argent et représentant la rivière.
C’est dans cet environnement rural que naquit Pierre Toussaint, fils de Toussaint POLICE et de sa légitime épouse, Marguerite Mitaine, à l’instar de ses deux sœurs … Marie Marguerite son ainée et … Marie Marguerite sa cadette [Non il n’y a pas de faute de frappe 😮]
Chaque année la frénésie du Sosa de l’an nouveau secoue le petit monde de la généalogie … Comme il se doit, je pars à la recherche du mien … Mon Sosa 2022 …
Un homme … De la Génération 11… Branche maternelle
Qui a la grande bonté de figurer déjà dans mon arbre 😀 … Avec père, mère et grands-parents … Tous identifiés … Contrairement à 2020 où j’avais dû batailler ferme pour arriver à un nom.
Sosa 73 – de la Génération 7 – Christina Walker épouse Hepper
Qui es-tu donc petite Sosa née un 25 décembre Déposée au pied du sapin le jour de Noel …
Première née du couple formé par tes parents Johannes Walker et Mara Barbara Weissert, c’est le jour de noël en 1773 que tu pointes le bout de ton petit nez d’allemande, originaire de Pfrondorf comme ton papa, tisserand en lin et ta maman … tu auras 3 frères et sœurs qui te suivront.
Initié par Guillaume Chaix, le rendez-vous ancestral mensuel est un mélange d’écriture, et de généalogie … « rencontrer pour de vrai » un de nos ancêtres … Voilà pour le côté « fiction » de ce Rendez-Vous atypique
C’est un e-mail reçu il y a quelques jours qui m’offre aujourd’hui de remonter enfin l’ascendance de mon arrière-grand-mère paternelle …
Un e-mail aussi inattendu que le fut cette découverte il y a quelques mois maintenant … à revoir ICI
Ma chère Dorothée
C’est ton arrière-arrière-petit-fils qui m’a ouvert le chemin de ton ascendance, après laquelle je courrais désespérément … Ta fille Agnès, sœur de mon grand-père Marcel m’avait déjà elle aussi donné bien du mal … jusqu’à ce fameux jour où j’eus rendez-vous – ancestral – avec elle …. Toujours grâce à ton arrière-arrière-petit-fils.